La lumière de la lune traversait à peine les frondaisons, éclairant d'une pâle lueur la petite route qui traversait la forêt. Un grognement guttural résonna entre les arbres, suivi rapidement d'un bruit sourd. Les ordres étaient pourtant clairs : pas un mot. La forêt n'était pas sûre, me répétait le guide.
Le fautif se massait douloureusement la nuque, sous le regard désapprobateur de l'homme qui le guidait.
Les deux hommes poursuivaient leur route l'ambiance était aussi calme que froide. L'épais brouillard ne freinait pourtant pas la cadence des Orques sur ces terres. Ils ne savaient que trop bien ce qu'ils risquaient à s'attarder. Et ils devaient rapidement parvenir à leur destination.
Une petite heure devrait suffire pour arriver en vue du poste principal de recrutement de l’alliance des nains, des humains et hauts elfes.
Une fois arrivé devant la batisse, je marche jusqu'à la porte. je vois deux gardes, un nain et un elfe, qui se chamaillent. Je profite de cet querelle coutumière pour rentrer en ces lieux.
A peine arriver à l’intérieur, j'ai affaire à un brouhaha immense. Des soldats s’affichent dans un mélange de race (nains, haut elfes et humains se côtoient autour de chopines et d’histoires).
Puis soudain je reçois un coup à l’arrière des genoux qui m' aurait fait tomber à terre si on ne m'avait pas aussi tenu les épaules. Je me retrouve donc en position de prières, tenus par les gardes de la porte. Aucune personne de l’assemblée ne se préoccupent de moi !
A vous l’avez ! Je vous jure que vous allez avoir des soucis à force de laisser passer n’importe qui ?
* La personne qui vient de parler est un humain de taille moyenne, coiffé d’une cagoule de peau et de cuir. Il lui manque quelques dents et vu ça tenu, on dirait un scribe. Soudain, il fut étonnée, puis s’exclame au garde *
Veuillez le lâchez, c’est une nouvelle recrue ! Elle vient d’arriver avec le guide ! Et retourner donc à votre poste imbéciles !
* Pendant que je me releve, l’humain me demande de le suivre. Il m'emene emmène à une table, ou je prend place autour et il me sort un parchemin *
Salut compagnon, je m’appel Grotil. Veuillez les excusez, vous êtes entrer sans vous présentez, sans doute ne les avaient vous pas vus. Peut-être étaient-ils encore entrain de se chercher des noises. Enfin passons ! Veuillez remplir ce questionnaire et me le redonner de suite après, que je le porte au Haut Conseil, qu’ils puissent lire votre demande d’intégrer nos range.
Je découvre alors le questionnaire...
Race : Humain (Pas tout a fait sur)
Nom : Acebor Xun
Taille : 1,80
Âge : 21
Poids : 75kg
Carrière : Brillant guerrier à Altdorf.
Couleurs yeux : Noir profond
Couleurs de cheveux : Noir
Divinité : Ulric ou Sigmar (a définir)
Lieu de naissance : Kislev
Père : Acebor Krys
Quels sont vos motivations ?
Dans la vie, bien des choses peuvent amener une personne à écrire sa biographie. Pour ma part, je le fait car je souhaite commencer une vie nouvelle, et ce texte me servira à séparer mon ancienne vie de ce nouveau départ.
J'écrit tel que je parle, alors ne vous attendez pas à lire un conte de barde.
Tout a commencé les jours de ma naissance. Et oui d'après les dires de mon père (Krys), ma mère (Akora) a « vraiment eu dû mal à me faire sortir », elle aurait souffert un peu plus d'une journée et demie ! Et pour quel résultat à ses yeux. Lorsqu'elle vit l'iris de mes yeux, il parait qu'elle eu un mouvement de recul. En effet, avoir les noirs profond peut choquer n'importe qui et cela est présage d'un avenir sombre. Une foie l'émotion passé, elle décida que je deviendrait un guerrier (il est a noter que dans ma famille les hommes d'armes sont peu respectés, et c'est là qu'on met les « erreurs» que l'on souhaite cacher). C'est ainsi que je fut confié au soin de mon oncle, sans même que ma mère m'ais donner un nom.
Ainsi mon oncle, Nadorl le maître d'arme (et oui on a pas tous des appellations héroïques), qui me donna mon nom, et qui me prépara au métier de guerrier. Il est le seul à avoir su apprécier ma différence à sa juste valeur, et maintenant que j'y pense c'est logique, car il est la seule personne que j'ai réellement cotoyée jusqu'à mon adolescence. Il trouva en mon regard vide une arme d'une redoutable efficacité. Il m'a ainsi appris que mon regard étant vide d'émotion, l'adversaire ne pouvait connaître mes intentions en combat (pour les non initié, il faut savoir que toute intention d'une personne lors d'un combat se lit dans ces yeux un instant avant qu'il entame son geste, cela permet ainsi de se préparer à l'attaque). Et il a développé en moi ce don naturel de l'imprévisible, à mon insu.
En effet je n'ai jamais réellement accepté cette fatalité, qu'était ce regarde livide. Mon oncle a pris cela pour une crise de personnalité du a mon passage à l'âge adulte, mais c'était bien plus profond que cela. A l'inverse de ce que mon visage montrait, un être dépourvu d'émotion, mon âme elle en était remplit. Elle débordait de cette envie de découvrir de nouvelles sensations, car celle de la mort me dégoûtait. Durant mon entraînement, j'ai plus d'une fois ôter la vie d'un semblable, et ce sentiment est le seul que j'ai voulut renier. Il ne trouvait pas sa place dans mon âme, parce qu'il représentait des souffrances non justifiées. Cela n'avait pas lieux d'être dans un combat, tout comme ce sentiment n'avait pas lieu d'être dans mon coeur.
C'est ainsi qu'un jour je pris la décision de ne plus tuer. Et peu après cela, notre forteresse fut attaquée par une horde d'orque. Et j'ai donc refusé le combat, et encore plus stupide j'ai essayé de séparer les combattants. Comme vous pouvez le comprendre, j'ai rapidement reçu un coup dans le dos qui me laissa choir sur le sol. Lorsque je repris mes esprits, j'étais entouré de cadavres, et je me suis vite aperçut qu'il y avait plus de mort de ma famille. J'ai donc reçu en prime d'une double cicatrice physique et morale, une leçon que je n'oublierait jamais : « Refuser de tuer, peut causer plus de mort que de l'accepter ».
Après m'être remise de mes émotions, si on peut dire, je suis part voir si mes parents avaient survécus. Mais la vue de leur corps empalés sur le trône familial me remit rapidement les idées en places.
Je partis donc de ce monde de guerres éternelles, en me demandant comment j'avais pu en émerger. Et je commençai donc un long voyage vers la surface en espérant qu'il existe un lieu, on la guerre serait un ultime recours, et non pas une étape obligatoire. Mes pérégrinations durèrent 3 ans, et je profitais de ce temps pour réfléchir à ce que j'allais faire si je trouvais un lieu où je serais à mon aise, tout en perfectionnant ma technique du combat dans les diverses arenes du monde encore libre. Jusqu'au jour ou je suivait le guide qui me mena ici.
Venger ma famille et liberer le monde des orques.
* Pendant que je remplissais celui-ci.... *
Quand vous aurez fini vous pourrez aller dans la pièce d'à côté. N'hésitez pas à discuter avec les membres de l'Ordre de l'Aube Eternelle et à prendre un verre ou deux.
* Je lui tende le parchemin. Il l’enroule et le ferme avec un cachet de cire. *
Je vous tiendrais au courant par un courrier scellé que vous recevrez personnellement.
J’esperes à la prochaine l’ami.
------ HS -------
Bonjour, je m'appel Sylvain, j'ai 21 ans, j'adore le roleplay, et l'univers warhammer.
J'habite dans le var (83)
Voila, a bientot j'espere.