[Incorporé] -§ Kaina Elhadrati §- rentrer dans les rang

[Et c'est là, dans ces moments là, à ces instants préçis, qu'Alanor peut s'emporter...]

Suite aux paroles de l'archimage, l'Elfe se raidit...Son regard était vide...il faisait dos à Aglaranna...il y avait un "blanc" dans la salle...aux bout de quelques secondes, c'est la taverne entière qui se tue...
Tout le monde regardait le Lion Blanc...Pas un bruit...puis, ce dernier laissa s'échapper un léger ricannement...
Il se tourna lentement...
La tête baissée...
Il releva la tête...
Plongea son regard dans celui de Dame Aglranna...
Son regard, vide il y a quelques secondes, était maintenant un regard sombre, presque effrayant...
Il se rapprochat doucement...
Rapprochat ses lèvres des oreilles de L'asure, pour lui glisser quelques mots

Il est vrai que nous, lion blanc, ne sommes pas tenus de discuter les propose de la noblesse...seulement, ici, je ne pense pas que vous fassiez parti de cette noblesse...

Il recula son visage et continua

Des méthodes barbares ? Sanguinaire ? Que vous a-t-on appris dans votre tour ? Il n'y a eu, ni sang, ni barbareri en ces lieux !
Quand à tenir ma place...sans vouloir vous offensez, vous ne tennez pas la votre non plus...

Il se retourna, et laissa quelques mots

Je ne dictes pas votre conduites, loin de là, je vous conseil, de ne pas le faire non plus...

Aglaranna toisa Alanor du regard

" Il n'y a nul besoin que le sang soit verser pour que ces méthodes soient qualifiables de barbares et sanguinaires, mais peut être ce raisonnement réthorique manque t'il à ceux de vos montagnes. Il est vrai que ce n'est pas là ce que l'on attend d'un bon bucheron. Pour lui l'important c'est que l'arbre tombe la où il faut plutot que la raison qui fait que l'on arrive à ce résultat.

J'arreterai là de deviser avec vous car j'ai l'impression que vous avez bu plus que de raison. il semblerait que nos amis nains et leur amour de l'alcool ait déteins sur vous mon pauvre ami... en si peu de temps c'est bien triste... "

Aglaranna se détourna et attendit à la porte que la jeune humaine sorte

Il se retourna encore uen fois...

Bien, bien, bien...

Il se rapprocha, fixa l'humaine et hurla

Vous feriez mieux de rester assise et tranquille !

Il se rapprocha au delà de la limite raisonnable de Dame aglaranna

Si peu de temps ? Ecoutez moi bien ! J'ai passé presque plus d'un demi millénaire de plus que vous sur cette terre ! Ce n'est pas votre siècle d'étude, qui me fera vous épargner ! j'espère être clair !

Il était maintenant, en colère...

La aute noblesse de notre peuple, se cache dans ses palais ! Vous auriez bien plus appris de la vie, cher dame, en nature sauvage !

Il mit sa lourde hache sur ses épaules...

Avez encore quelque chose à ajouter, ou je peux m'en retourner à mes activité , qui semble aparemment "primitive" ?

Aglaranna décocha un sourir désarmant à Alanor

" Quand je disais "si peu de temps", je parlais de celui qu'il vous avez fallu pour accepter les moeurs festifs des nains et leur gout immodéré pour l'alcool, rien d'autre.

Mes précepteurs m'ont toujours enseigner que la sagesse n'attends pas le nombre des années. Ainsi votre age ne fait il pas obligatoirement de vous un sage. il est vrai que vous en savez certainement plus que moi sur l'abattage des arbres cependant...

Vous essayez de m'intimider avec votre vague menace de pilier de comptoir. il n'y a pas que des nains que vous avez pris le pire... Ivrogne et maintenant vous voilà Bagarreur. Si c'est ce que vous cherchez, priez juste pour qu'Isha retienne ma main.

Maitenant, si vous avez quelque tache à accomplir, je ne vous retiens pas, mais rajoutez donc "prendre à bain" à la liste, vous sentez aussi fort que votre lion... "

Avant de s'en aller, Alanor lacha quelques derniers mots

Vous n'avez jamais connus mon "Lion", alors je vous serais grés de ne pas parler de lui...Et puis, bagrreur...non, je n'ai nullement l'intention de lever la main sur vous...succeptible, oui je pense...Brutale, peut être...

Et si cela vous dérange, dites le moi, je tenterais d'arranger cela, mais la manière ne conviendra peut être pas à tout le monde...

Il prit ses lettres...une fois à la porte de la taverne...

Sachez que j'ai pris bine pire au caractère nain, je suis aussi quelqu'un de rancunier, sévèrement...

Il ouvrit la porte

Si j'avais sus que cela débuterais ainsi...

Et il ferma la porte, sur ces mots, bien mystérieux...


[HRP] Je préçise pour kaina, Ceci (la scène de tension entre aglaranna et moi) est du RP, rien de plus, c'est pour pimenter un peu les évennements, alors pas d'inquiétudes, il n'y a aucunes tension Vraie chez nous, ne t'inquiète pas [/HRP]

Finn avait suivi la conversation du coin de sa table.

Aucun savoir vivre ces "elfes", se mumura-t-il. Même pas une p'tite baffe.

Malgrès son manque d'expérience, Finn savait qu'il n'avait pas à intervenir dans pareille querelle. C'est donc avec joyeuseté qu'il vida sa choppe.

Aglaranna salua la jeune femme de la tête.

" Ne vous en faites pas Dame Kaina, les tensions que vous avez pu entreapercevoir ne sont ni de votre fait, ni à cause de votre présence ici. Simplement, il arrive que nos susceptibilités respectives refacent surface...

Si vous et maitre Darkmoon l'acceptez, je puis rapidement prouver si vous êtes souillée par une quelconque affiliation au chaos. Cela ne vous exemptera probablement pas de sa légendaire suspicion, mais au moins il aura la preuve que vous n'êtes pas corrompue... "

Borgir avait écouté ce qu'avait à dire Kaina.

Lorque Nandolf entra dans la pièce il s'énerva comme si souvent...

"Je t'ai autorisé à entrer? Laisse-moi donc faire ce qui est bon pour la survie de l'Ordre , si un jour un incident arrive et qu'un hérétique infiltre nos rangs , voudrais-tu qu'on te désigne comme le responsable?
Tais-toi donc , sors et laisse-moi finir mon travail.

Aglaranna sors toi aussi. Dégagez tous !
Il e semble que cette salle m'est réservée je vous demande de sortir !"

S’il avait été en Tilée il n’aurait pas survécue deux jours. Le moindre différent se réglant généralement par un duel.
Mais elle n’était plus dans son pays et les répurgateurs jouissait ici d’une sorte d’immunité. Se permettre de s’opposer ou de porter la main sur l’un d’eux aussi hargneux et têtu fut-il pouvait mener droit au bûché pour hérésie.
Kaina avait vraiment du mal à s’adapter, autant au mœurs et aux coutumes locales qu’au climat.

« Vos intentions sont louables mais je ne vois vraiment ce que je pourrais faire ou dire de plus pour vous prouver ma bonne foi. Même s’il est important, vous prenez sans doute votre rôle trop à cœur en ce qui me concerne. Je ne compte pas quitter l’auberge tant que le conseil n’aura pas statué sur mon cas. Je désire rejoindre cet ordre et ce n’est pas vos méthodes d’intimidations, peut être éfficaces sur de pauvres paysans, qui me feront changer d’avis »

Aglaranna attendit que Borgir ait terminé sa diatribe et se tourna sans un mot vers Kaina. On pouvait distinctement la voir murmurer des paroles inaudibles. Une énergie emplissait progressivement la pièce.

Aglaranna fit un pas en avant et tendit son baton vers le front de la jeune humaine. L'énergie accumulée se concentra très rapidement au travers de l'archimage puis de son baton avant de nimber Kaina dans une douce lumière blanche.

Aglaranna regarda, dans les yeux, la jeune femme lui faisant face. La puissance de sa magie était presque palpable.

" Puisse Isha, Déesse de la pureté bénir ta route si ton âme est pure ou te consumer sur l'instant si elle est souillée par la corruption du Chaos ..."

Borgir regarda la Dame Elfe pratiquer son art.
Il attendit la fin de l'inspection magique et se pencha vers Kaina pour lui souffler au visage.

"Ne me sous-estime pas , femme. J'ai brûlé de plus gros corps que le tien.
Je n'ai pas une grande confiance en la magie... S'il s'avérait que le moindre soupçon d'hérésie pèse sur toi , je me chargerai moi-même de te retirer ce poids. J'ai déjà tué des membres de l'Aube contaminés par la magie Obscure , sache-le."

Borgir regarda de travers l'Elfe et sortit de ce qui était sa salle.

Le Chevalier s'était contenté de rester silencieux et de fixer le Répurgateur avec un regard noir.

On pouvait sentir que le Seigneur Hartmann bouillonnait intérieurement. Il ressassait dans son esprit les paroles que venait de prononcer Borgir à son encontre.

Il resta sur le pas de la porte et observa Dame Aglaranna exécuter son sort de purification sur Kaina.

Avant que le Répurgateur ne se décide à quitter la pièce, Nandolf prit enfin la parole.

"L'incident s'est déjà produit, laissez moi vous rafraichir la mémoire Borgir car la votre semble défaillante. Vous avez pris sous votre aile et mis dans la confidence sur les secrets de l'Aube, une hérétique au service d'Obscur sans avoir aucun soupçon à son sujet alors qu'elle se tenait aussi près de vous que je le suis aujourd'hui."

"Chacun à sa part de responsabilité dans cette histoire mais force est de constater que vos sens ne sont plus aussi aguerris que vous semblez le faire croire. Même si Kaina était corrompue par le chaos, Dame Aglaranna vient de nous prouver le contraire à l'instant, je suis convaincu que vous seriez incapable de le découvrir."

Il marqua un temps d'arrêt et poursuivit.

"Sachez que l'acharnement dont vous avez fait preuve auprès de Dame Kaina ne rachètera pas l'erreur que vous avez commise avec Sélène, alors à l'avenir tachez de nous épargner vos interrogatoires inutiles lorsqu'une nouvelle recrue se présente à la taverne de l'Aube Eternelle, car vous salissez la réputation et l'image de notre Ordre en agissant comme vous venez de le faire."

"J'espère avoir été clair Répurgateur !"

Borgir qui s'était stoppé net aux paroles de Nandolf bouillonnait de rage.
Il était maintenant dans une de ces colères noires qui le prenaient beaucoup trop souvent en ce moment. Comme il l'avait fait avec le nouvel elfe , il se jeta au col de Nandolf et lui cracha au visage ces mots

"C'EST PARCE QUE J'AI FAIS CES ERREURS QU'IL N'EST PAS QUESTION QUE CELA RECOMMENCE !! D'ABORD HARTS PUIS SELENE !! TY N'AS RIEN A M'APPRENDRE PAUVRE CRÉTIN ! "

Lioudane n'était pas intervenu jusque là car il trouvait cela plutot amusant, mais lorsqu'il vit Borgir sauter au coup de Nandolf, ce fut le geste de trop.

" SUFFIT VOUS DEUX ! On croirait une paire de mendiants se disputant un pistol trouvé par terre. Est ce là l'image que vous compter donner de l'Aube Eternelle.
Si l'un d'entre vous veux vraiment en découdre, qu'il aille donc sur le terrain d'entrainement où je me ferait un plaisir de lui administrer la raclée qu'il mérite..."

Lioudane était écarlate. Bien peu l'avait déjà vu énervé à ce point.

" Maintenant vous aller vous serrer la main comme des personnes de bonne intelligence et vous asseoir à la même table pour discuter calmement de tout cela. Et celui ou ceux qui me contrediront n'auront pas finit d'en baver ! suis-je bien clair ? "

Garek desserra peu à peu la main du pommeau de son épée. Le répurgateur n'avait qu'un geste à esquisser envers Nandolf et il finirait avec un mètre cinquante d'acier dans le ventre.
Garek se leva mis la main sur l'épaule de Nandolf et lui murmura:
Laisse le, il ne vaut pas la peine que tu t'échauffes les sangs, un jour peut être que notre bon vieux Borgir comprendra ce qu'est la politesse. Espérons toutefois que ce ne soit pas un Orque qui la lui apprenne
Garek se retourna vers Kaina, un sourire un peu crispé aux lèvres.
Veuillez nous excuser pour ce petit incident et laisser nous vous montrer que nous savons être de bons hôtes.
Garek commanda une tournée.
Quand à Borgir, je vous prie de l'excuser, ce n'est pas un mauvais type mais la vie ne nous à pas épargné ces derniers temps... et Borgir tout particulièrement... il est quelque peu à cran.

Le bâton s’approcha de son front. Deux yeux d’un gris clair la transpercèrent. Les murs de l’auberge se désolidarisèrent peu à peu. Les yeux toujours fixés sur elle, le monde bascula…

La plaine verdoyante s’étendait en contre bas, une douce brise aux odeurs printanières lui caressait le visage. Debout sur un promontoire rocheux la chevalière contemplait ce territoire sauvage qui s’étendait à ses pieds.Balayant de son regard les alentour Kaina aperçu un bassin d’eau, irrésistiblement attiré par celui-ci elle s’approcha. Plongeant son regard dans l’eau miroitante elle vit :

L’enfant n’avait pas plus de trois hivers, il s’accrochait aux jupes rapiécées d’une grande femme aux longs cheveux blancs occupait à raviver le foyer de l’âtre. La porte s’ouvrit avec brutalité, trois hommes portant de longues capes et des masques grimaçants entrèrent. D’un revers de la main le plus grand d’entre eux fit taire les cris de la jeune femme, pris l’enfant dans ses bras puissants et se dirigea vers la porte.
Jetant un regard entendu aux hommes restaient en arrière il se dirigea vers sa monture.
Au plus profond de la forêt, sous le couvert d’une nuit sans lune, un cavalier, un étrange paquet dans les bras rejoignait son maître ; au loin le doux foyer protecteur c’était transformé en un énorme brasier.

L’eau ondula légèrement pour faire apparaître une nouvelle scène.

Sous un soleil de plomb dans ce qui semblait être une aréne de duel, l’enfant était devenue une adolescente aux traits acérés. Face à elle trois jeunes gens, armes au poing lui faisaient face. Nullement impressionné celle-ci voltigeait entre ses adversaires, n’infligeant volontairement qu’une légère entaille à chaque passage. La foule hurlait de joie, le spectacle allait durer. Le sang imbibait peu à peu le sable chaud, les trois duellistes couvert de blessures s’écroulérent dans la poussière. Ses adversaires vaincus elle regarda le seigneur des lieux ; le regard froid et calculateur il ordonna la mise à mort, un sourire aux lèvres celle qu’avait été Kaina s’approcha des trois corps étendus sur le sol…

Une nouvelle ondulation se produisit.

Elle se vit poursuivie par les mercenaires, suite au décès de son père, engagées par ce qui avait été autrefois sa famille adoptive. Les aboiements des chiens, le bruit des chevaux lançaient à ses trousses et cette voix… ces voix aux intonations multiples et changeantes, qu’elle entendait dans ses rares moments d’abandons qui lui murmurait …qu’elle était la plus forte, qu’elle avait été choisie, que c’est en se dirigeant vers le nord vers les terres désolées ; là et seulement là qu’elle trouverait le salu…

Le temps changea brutalement et le ciel d’un bleu azur se couvrit de lourd et épais nuages. Le sol riche et fertile se durcit et se fissura, les arbres alentours se tordirent de manières absurdes et étendirent leurs branches devenues menaçantes. Kaina ne pouvait détourner son regard du bassin.

Aux pieds d’un autel, dressé sur les restes fumants d’une citée autrefois prospère, une silhouette à l’armure rougit par le sang se prosternait. Rendant grâce aux dieux qui lui avait fait don de leur puissance en leur apportant chaque jour massacres et tueries. La silhouette se releva peu à peu, deux yeux rougeoyants fixèrent Kaina.
Celle-ci défaillis.

L’eau s’évapora formant un épais brouillard coloré à travers duquel s’avança la silhouette aperçue plus tôt dans le bassin. Kaina contempla sa propre image, mais là où l’une était noble et vertueuse l’autre n’était que haine et colère. Engoncé dans une armure absorbant la lumière environnante, armé d’une épée couverte de flammes ondulantes ; d’un large sourire l’apparition prononça d’une voie froide :

« Tu es faible. Tu as refusé ton destin et tu vis désormais dans la peur ; en ce jour je vais te délivrer de tes craintes. »

Kaina n’eu que le temps de se relever à la hâte pour parer le coup ascendant que lui porta son adversaire. Elle riposta rapidement et fut paré tout aussi promptement. Frappe, esquive, feinte, le combat n’en finissait pas dés que l’un des deux protagonistes portait un coup s’était pour être paré et contre attaqué aussitôt. Alors que la foudre s’abattait sur la plaine les deux combattants s’élancèrent l’un vers l’autre. Les deux coups portèrent, l’épée nimbée de flamme s’enfonça profondément dans le corps de Kaina au moment où celle-ci décapitait le chevalier chaotique.

De ce duel Kaina sorti vainqueur mais elle était à l’agonie. S’approchant du bassin elle regarda son propre reflet, celui qu’elle se connaissait. Le sol se déroba et elle sombra dans les eaux.

C’est vrai elle avait été cette fille cruelle à qui le goût du sang dans la bouche lui donné des visions enfiévrées. Sa rencontre avec Myrmidia avait changé beaucoup de choses. Elle n’oublierait jamais ses années à guerroyer aux cotées de ses compagnons membre de l’ordre ni les valeurs qu’elle s’était jurées de défendre. Myrmidia avait calmé les voix qui pervertissaient son esprit, elle avait suivi l’aigle de lumière jusque dans les terres de l’empire. Depuis l’instant où sa déesse l’avait pris sous sa protection elle ne s’était plus jamais sentie seul.

Elle se sentit glissé vers le fond, les eaux tournoyantes formèrent deux formes grises. Celle ci prirent la forme de deux yeux en amandes, un visage familier lui apparut, les murs de l’auberge ce re- matérialisèrent.Kaina retrouva ses esprits. S’appuyant sur le rebord de la table, complètement désorienté, le cœur battant à tout rompre et n’ayant aucun souvenir de ce qui avait eu lieu.

« Vous, je…. je prendrais bien quelque chose pour me remonter, je suis…… épuisé… »

Reprenant ses esprits, elle pris conscience de son environnement. L’homme qui l’avait interrogé tenait fermement le chevalier Nandolf par le col et Lioudane, le teint de sa peau de plus en plus similaire à celui de sa barbe, entre les deux qui tentait de calmer les esprits.

«…and ….ir,……..prie……ty…… derniers temps……culiérement……………….quelque peu à cran »

Le chevalier Garek venait de mettre une main sur l’épaule de Nandolf et s’adressait à elle.Le regard plein d’incompréhension, reprenant à peine ses esprits, elle se demanda ce qui pouvait entraîner pareil agitation.

Alanor après être partis on ne sait où... sans doute se rafraichir les idées, revint boire une pinte...

La porte s'ouvrit brutalement...une silhouette s'en distanguat...un elfe, d'une apparence rigoureuse, grand, costaud...C'était Alanor qui était revenue...
Il balaya du regard la salle, vit la scène de tensions, mais ne dit mots...Il allat au comtoire, commandat une pinte à ce chers will...La bu d'une traite...Mais n'en recommanda point...
Il n'allat pas s'assoir à sa table habituelle...Non...
Il se retourna, regarda encore les membres présents et leurs actions...
Un léger hosement des épaules...Il se retourna pour discuter avec Will ...

Alors cette journée ? Tout vat pour le mieux ?

Apparement Alanor n'en avait plus rien à faire de se qui se passait dans son dos...sa neutralité soudaine dut faire réagir pas mal de personne...D'habitude, ce cher Kemuri est toujours pront à défendre etc...Mais là, il faisait comme si de rien n'était...
Ce comportement fut à l'origine de quelques murmures dans la salle...

Borgir lacha Nandolf et lui fit de brèves excuses

"Pardon."

Il lanca un regard noir à chacun des membres qui se dressaient contre lui et sortit de l'auberge en claquant la porte bruyamment , laissant Alanor tout penaud sans réponse.

Aglaranna s'apercu du trouble de Kaina.

" Allez-vous bien Dame Kaina ? Que vous arrive-t'il ?
On dirai que vous êtes à bout de force... "